Sympaticothérapie

Le Fonctionnement

La Sympathicothérapie est une technique ancestrale de réflexologie. Elle utilise les zones réflexes endo-nasales (à l’intérieur du nez) pour corriger les déséquilibres du système neurovégétatif (orthosympathique et parasympathique),  qui agit indépendamment de notre volonté.

La sympathicothérapie agit sur la deuxième branche du nerf trijumeau en influençant le système neurovégétatif  avec des conséquences réflexes à distance. La stimulation de certains points ou de certaines zones du nez par un stylet métallique,  permet de soulager plus particulièrement certaines pathologies liées au stress ainsi que les pathologies fonctionnelles diverses.

L’utilisation de différentes  huiles essentielles en fonction de l’effet recherché amplifie la stimulation.

Les résultats,  peuvent être immédiats et stupéfiants, mais deux à trois séances sont la plupart du temps nécessaires pour ressentir un réel mieux-être.

Comment se déroule une séance de sympathicothérapie ?

Le patient est allongé en décubitus dorsal, mains sous les fesses. J’introduis tout doucement un stylet dans les différents cornets du nez en fonction du traitement à effectuer.

  • Le cornet supérieur correspond aux fonctions nerveuses centrales et le psychisme
  • Le cornet moyen aux fonctions cardio-respiratoires
  • Le cornet inférieur à la fonction digestive.

La réaction myosis-mydriase ou l’hippus (alternance + ou- rapide entre mydriase et myosis), est très favorable. Le larmoiement est lui aussi majeur. Il indique que l’information réflexe a été reçue et lorsqu’il cesse, le traitement est terminé.

Indications

  • Problèmes  ORL : otites, sinusites, laryngites, rhinites allergiques, bourdonnements d’oreilles …
  • Affections circulatoires : hypertension artérielle, maladie de Raynaud, jambes lourdes, varices…
  • Difficultés digestives : constipation, diarrhée, colites, brûlures d’estomac…
  • Affections endocriniennes : douleurs menstruelles, cycles instables…
  • Affections diverses : insomnie, anxiété, angoisse, hyperémotivité,  céphalées, migraines, spasmophilie, impuissance, frigidité, obésité, boulimie, intoxication tabagique …

Les contres-indications

  • Absolues : grossesse, troubles cardio-vasculaires graves, glaucome, suite de chirurgie nasale de moins de 3 mois, épistaxis (saignements de nez) fréquents et graves, polypose nasale très évoluée, néoformations intra-nasales.
  • Relatives: épistaxis bénins, polypose nasale en phase débutante, rhinite hypertrophique aiguë, coryza aigu, sinusite purulente, certaines zones ne doivent pas être touchées chez le diabétique, certaines patientes ayant leurs règles, la grossesse (sauf au terme)

 

 

 

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